AFQP Nouvelle-Aquitaine

Prix Régional

Le prix des bonnes pratiques

Un thème en lien avec un critère d'excellence

  1. Raison d’être, vision et stratégie
  2. Culture et leadership
  3. Engagements des Parties Prenantes
  4. Création de valeur durable
  5. Pilotage de la performance et conduite de la transformation

Exemples de Bonnes Pratiques critère 1 :

  • La raison d’être de l’organisme est en conformité avec la Loi Pacte, les statuts de l’organisme sont modifiés, la raison d’être est réfléchie avec les parties prenantes (actionnaires, représentants du personnel, personnel…).
  • L’analyse des parties prenantes débouche sur un plan de communication vers les différentes parties prenantes et intéressées ; la sphère d’influence est cartographiée.
  • La compréhension de l’écosystème et des enjeux de l’organisme démarre par l’analyse de Méga Trends (grandes tendances actuelles).
  • La stratégie et les politiques de l’organisme sont co-construites avec les parties prenantes et notamment le personnel et/ou les représentants des personnels.
  • Le système de management répond aux exigences des normes ISO notamment en matière de gouvernance et les indicateurs de performance répondent aux recommandations du Global compact et/ou du GRI.
  • Les projets de transformation, les innovations, sont anticipés et gérés en mode projet.

Exemples de Bonnes Pratiques critère 2 :

  • L’organisme déploie des chartes de bonnes conduites en matière éthique et/ou RSE, ces chartes sont réfléchies avec le personnel et autres parties prenantes pertinentes. L’organisme s’engage à respecter le niveau GC Advanced du Global Compact (21 critères).
  • L’organisme décrit sa gestion des réseaux sociaux et assure le contrôle de sa communication WEB.
  • Le changement s’anticipe, le personnel est impliqué dans la mise en œuvre des changements et des innovations.
  • Le personnel dispose de « temps libre » pour réfléchir aux changements et proposer des projets RSE.
  • L’organisme se compare aux bonnes pratiques des autres organisations (benchmark).
  • L’organisme est agile, il permet le regroupement (hors statut, hors fonction) d’individus pour promouvoir un projet particulier.
  • Les relations avec les parties prenantes sont décrites dans un plan de communication interne et externe, certaines parties prenantes (personnel, syndicats, actionnaires…) influent et/ou participent à l’élaboration des politiques et stratégies de l’organisme.

Exemples de Bonnes Pratiques critère 3 :

  • Les prospects et clients sont connus, répertoriés dans un CRM, la communication avec le client est constante, l’organisme cherche à comprendre les besoins futurs de ses clients et prospects, le service commercial n’est pas le seul à être habilité à entreprendre la relation client.
  • L’organisme développe des pratiques (formation, apprentissage, vie ma vie…) permettant de développer la richesse du capital humain, l’organisme utilise des référentiels de type Investor in People, ISO 10018, Happy at Work… pour démontrer les compétences, l’implication de son personnel ou sa satisfaction.
  • L’organisme met en œuvre une ACADEMY (organisme de formation interne) qui prend en compte les préconisations de QUALIOPI, met la compétence du personnel au cœur des préoccupations (VAE, diplômes financés par l’organisme, évolution de carrière, formation de formateurs…).
  • La connaissance collective et organisationnelle est développée, l’information est partagée.
  • Les besoins et attentes des actionnaires, propriétaires, banquiers, assureurs sont répertoriés et la communication est constante et recherchée.
  • L’organisme certifié, évalué ou labellisé décrit sa relation avec les autorités normatives.
  • L’organisme déploie des pratiques de développement durable (tri de déchets, réduction énergie…), fait référence au Global compact, aux critères RSE, s’implique dans la défense de la biodiversité, fait preuve de philanthropie.
  • L’organisme a des accords-cadres avec ses fournisseurs, les fournisseurs sont prévenus des changements importants, l’entreprise impose des critères RSE à ses fournisseurs, les fournisseurs sont évalués et doivent s’améliorer dans leurs pratiques

Exemples de Bonnes Pratiques critère 4 :

  • Les produits et services de l’organisme sont réfléchis avec les parties prenantes (personnel, prospects, comparaison avec la concurrence…), les produits sont éco-conçus et des améliorations proviennent d’échanges avec les clients et de l’analyse des réclamations.
  • L’organisme fait l’analyse de la valeur de ses produits et développe une activité de marketing, l’organisme sait présenter les différences de ses produits par rapport à la concurrence.
  • L’organisme se décrit sous forme de processus à valeur ajoutée (approche processus), il intègre dans ses processus les notions de RSE ou d’ISO14001. L’entreprise dispose d’un ERP qui gère les flux.
  • L’organisme modifie ses processus et ses flux (LEAN) pour obtenir une expérience client optimisée, le client participe à l’élaboration des produits, les réclamations clients sont analysées par la direction.

Exemples de Bonnes Pratiques critère 5 :

  • L’organisme déploie un tableau de bord des KPI ou Balanced Score Card qui fait référence aux indicateurs financiers et/ou aux indicateurs du GRI. 
  • L’organisme déploie une cartographie des risques selon un modèle SWOT et/ou STEEPLE et/ou PESTEL, il s’inspire des préconisations de l’ISO31000, il déploie une analyse des risques par processus quand nécessaire (AMDEC Projet, AMDEC Produits…)
  • L’organisme conduit ses projets de transformation ou d’innovation en mode agile (participation des parties prenantes). Les projets sont pilotés « en mode projet » avec des acteurs venant d’horizons divers.
  • L’organisme fait partie d’un cluster pour travailler sur les innovations, échanger, partager.
  • L’organisme analyse les grandes tendances (MegaTrends) et connaît les évolutions technologiques qui vont l’impacter, il recherche les meilleurs moyens d’intégrer les nouvelles technologies.
  • L’organisme assure une gestion des données organisée et sécurisée, il en permet l’exploitation de manière optimale (Big Data, ERP, Workflow, RGPD…), la connaissance collective et organisationnelle se développe par l’accès à l’information. La digitalisation des documents est devenue principe de base pour tous les contrats.
  • L’organisme décrit des processus d’attribution des ressources (humaines, financières, de système d’information, de maîtrise des équipements et de l’environnement de travail), les ressources sont anticipées, mises en œuvre et partagées. 
  • Les éléments critiques sont connus, détectés et bénéficient d’anticipation en matière de risque (maintenance prédictive, anticipation des départs de personnel, sécurité des biens et des personnes…)

Pour en savoir plus sur le modèle de référence, le modèle d’excellence européen EFQM®, rendez-vous ICI sur le site de France Qualité.

DES CRITERES DE SELECTION CLAIRS

  • Exemplarité de la démarche, en lien avec la stratégie
  • Caractère innovant et reproductible de la démarche
  • Résultats performants (opérationnels, économiques…) dans la durée
  • Impacts durables sur la vie de l’entreprise

DES BÉNÉFICES IMPORTANTS

  • Le rapport d’évaluation est une source d’opportunités d’améliorations et de performances reconnue
  • Communication interne et externe sur la récompense : médias régionaux et nationaux, relais des partenaires, 
  • Remise des diplômes lors d’une cérémonie publique nationale, puis régionale
  • Possibilité d’accéder au Prix Bonnes Pratiques national
  • La reconnaissance attribuée à un thème peut être un levier d’engagement sur d’autres thèmes, afin d’ancrer la démarche plus en profondeur

SIMPLICITÉ DE PARTICIPATION

  • Un dossier simple à constituer : de 2 à 10 pages
  • Une évaluation du dossier par 1 ou 2 évaluateur(s) qualifié(s), après un échange avec le candidat
  • Une courte visite chez le candidat pour confirmer le contenu du dossier et le situer dans son environnement
  • Participation gratuite : pas de frais d’inscription. Seuls les éventuels frais de déplacements des évaluateurs sont à la charge du candidat dans la limite de 500€ net de taxe par évaluateur.